LE CADRE DE RECEPTION
Le Château
peut recevoir jusqu'à 130 personnes assises en deux salons ou 350 personnes en cocktail en 4 salons communicants et un hall..
LE CADRE DE RECEPTION
Les dépendances
L'Apatam : auvent de 50 m² prolongeant l'Orangerie vers l'aire de réception extérieure, peut être clos par des stores, il comprent deux toilettes dont 1 pour handicapés.
L'Orangerie chauffée : peut recevoir 250 personnes assises (pour un effectif supérieur nous consulter) et 400 personnes en cocktail, à coté d'un office pour le traiteur de 60 m2
Le cadre romantique de l’arrière du château peut servir de décor à la partie champêtre de votre réception qui, selon les conditions climatiques, peut se prévoir sous abri à l’intérieur de l’Orangerie ou de l’Apatam (préau) ou même dans le château selon l’effectif.
La grande pelouse permet d’y faire installer des buffets, des tentes ou des chapiteaux.
Eléments d’histoire et d’architecture du château de Sorel
En 1645, Anne-Claire de Hamel, dame de Sorel, épouse Antoine de La Viefville, marquis d’Orvillers, député de la noblesse de Picardie aux Etats généraux. Abandonnant son château d’Orvillers, ce dernier, après son mariage, entame la construction du château de Sorel qui se termine vers 1655.
Le château est typique des châteaux construits dans la région à cette époque. En briques et en pierres, de style Louis XIII, il présente un corps de bâtiment principal flanqué de deux ailes et précédé de douves ornementales.
Ce n’est qu’à la fin du XVIII° siècle que la demeure sera vendue par la dernière marquise de la Viefville d’Orvillers.
Le baron Chapelain du Brosseron, conseiller général de l’Oise, en deviendra propriétaire. Le domaine restera dans sa famille jusqu’à nos jours. Son épouse, grande amie de la veuve et des filles de l’écrivain Beaumarchais les recevra souvent à Sorel où elles monteront de nombreux spectacles pour leurs amis et les habitants du village.
Ces dames vantaient le charme de cette terre à 22 lieues de Paris…
Quelques modifications architecturales furent effectuées sous Napoléon III, en particulier on ajouta la grande balustrade de pierre ornant la façade avant.
Le château et ses communs, à l’exception du pigeonnier en pierre, subirent des dommages au cours de la Première guerre mondiale. Seul le château fut entièrement restauré.
